• vendredi 1er juin

    Branle bas de combat, moussaillons ! 

    Pour notre dernière journée, nous avons au programme une séance de catamaran arf le matin et

    une séance de kayak couplée d'un jeu sur le patrimoine de l'ile (en demi-groupe)

    l'après-midi [encore un petit changement de programme yes].

    Mais auparavant, il faudra refaire et boucler la valise, mettre les chambres en ordre. 

    Vers 17 heures 30, nous nous rendons au rendez-vous du car puisque nous quittons l'Ile Tudy.cry

    Ce soir nous nous retrouverons à l'école. 

    Excellente journée à tous.

     

    PS : Le sac de médicaments a été transporté et récupéré pour le premier car.

    Lundi, je redonnerai les médicaments aux enfants. Si cela pose problème d'attendre lundi, envoyez moi un message via le blog.

     

    Le catamaran : 

    Il n'y a pas eu de topo en classe pour cette dernière séance de navigation.

    Les enfants ont choisi une combinaison (maintenant ils savent tous quelle marque et quelle taille prendre) et sont allés au vestiaire s'équiper.

    Ce qui n'est pas très drôle c'est d'enfiler les combinaisons encore mouillées ou humides.

    Elles collent à la peau et elles sont très ajustées : il faut s'aider les uns les autres pour faire passer les talons,

    remonter la combinaison jusqu'aux genoux, jusqu'aux cuisses puis faire passer les hanches.

    Merci à Nathalie et Kathleen qui ont, par leurs interventions, permis à certains enfants de ne pas désespérer.

    Ceci étant fait (c'était le plus difficile), enfiler le haut est plus simple, mais il faut continuer à tirer pour faire glisser...

    Les enfants s'aident encore à fermer la fermeture éclair située dans le dos. On n'oublie pas la casquette et les lunettes,  

    et le gilet jaune pour le catamaran, le gilet rouge pour le kayak.

    On attend les moins rapides, ceux dont la combinaison a été plus récalcitrante. 

    Enfiler son combinaison, c'est du sport avant le sport. 

    Enfin tout le monde étant équipé, le groupe se dirige vers le quai pour embarquer sur les bateaux de sécurité

    qui font office de bateau de transport des équipages, qui sont déposés sur leur catamaran. 

    Les bateaux sont attachés à la queue leu leu par quatre pour le remorquage jusqu'à la Perdrix et au-delà.

    Après quelques rappels, les catamarans se séparent et partent. Au barreur de bien regarder devant et de suivre le cap,

    aux skippers de border ou choquer les voiles pour prendre le vent et avancer. 

    Pour cette dernière séance, il n'y avait pas beaucoup de vent, juste ce qui faut pour avancer calmement.

    vendredi 1er juin   vendredi 1er juin

    Les catamarans sont au mouillage, Mathilde et Matthieu emmènent les équipages jusqu'aux bateaux.

    vendredi 1er juin

    Les skippers déroulent le foc. Ils accrochent l'écoute au drisse avant le départ. La barre est droite. 

     

    vendredi 1er juin

     C'est parti !

    vendredi 1er juin

    Objectif du barreur : passer entre la Perdrix et la balise. (Les balises du port sont solaires !)

    vendredi 1er juin

    vendredi 1er juin

     

     Le kayak :

    Peu de photos pour cette activité, nous étions toutes occupées. 

    Il a fallu comprendre comment monter dans le kayak, pagayer, tourner à droite et à gauche, pagayer en marche arrière.

    Mais très vite le vent s'est levé. Quand il fait beau, le vent se lève l'après-midi (une histoire de courants thermiques).

    C'était difficile d'avancer contre le vent et certains enfants ont eu du mal à pagayer. 

    vendredi 1er juin

     

    Le patrimoine de l'Ile Tudy:

     Adeline nous a parlé de la vie sur l'Ile.

    Les hommes partaient en mer à la pêche : ce sont les "pêcheurs".

    Les femmes s'appelaient les "pen sardine". Elles travaillaient dans les conserveries et mettaient les sardines en boite. 

    Les garçons, les "mousses", apprenaient à pêcher et nettoyaient les caisses de poissons, réparaient les filets.

    Les filles s'occupaient des petits pendant que les mamans travaillaient. Les filles sont appelées les "pistolos" car

    quand les bateaux revenaient de la pêche, elles passaient dans les ruelles en faisant sonner des cloches pour prévenir les 

     "pen sardines" que le travail allait commencer à l'usine.

     

    De retour de la pêche, les hommes partaient au bar et buvaient beaucoup de vin. Beaucoup ont souffert d'une maladie appelée l'alcoolisme. 

    Jacques de Thézac (etnologue, photographe) a créé les "abris du marin" : ce sont des maisons dans lesquelles on venait

    pour se reposer, apprendre à lire et écrire et à nager (premières notions de sécurité), dans lesquelles l'alcool était interdit. 

     

    Comment trouvait-on de l'eau douce potable sur l'Ile ?

    L'eau des puits était saumâtre : elle était salée. et Elle ne pouvait pas être bue.

    Alors les habitants de l'Ile ont installé une pompe pour faire venir de l'eau douce potable.

    Ils ont aussi récupérer l'eau de pluie. 

     

     

    vendredi 1er juin

    Cette maison rose, c'est l'abri du marin de l'Ile Tudy.

    vendredi 1er juin

    vendredi 1er juin

    Les enfants comparent une photographie d'autrefois avec le paysage actuel (côté rivière!)

     

     

     

     


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