Visite du port, du vivier et du musée de la conserverie.

Nous avons utilisé des barges pour traverser le chenal, direction Loctudy.

Là, nous avons observé des balises latérales vertes et cardinales nord.

 Nous sommes descendus sur le quai juste à côté des chalutiers :

les petits partent en mer dans la journée, on les appelle les chalutiers côtiers

alors que les plus gros partent pêcher pendant 3 ou 4 jours, on les appelle les chalutiers hauturiers.

Nous sommes entrés dans un vivier.

Comme son nom l'indique, on y trouve des crustacés vivants ou des coquillages.

Il y a aussi l'usine de poisson : les poissons qui ont été pêchés dans la journée sont découpés en filet.

C'est à l'usine de poisson et au vivier que se rendent les restaurateurs, les responsables de cantine ou de collectivités pour se fournir.

Le poisson que nous avons mangé mercredi midi avait été commandé et préparé à l'usine.

 Nous avons observé des langoustes, des homards, des araignées de mer et

des crabes dormeurs.

Nous avons pu tenir dans nos mains les araignées et les crabes. 

 Puis nous nous sommes dirigés vers le musée de la sardine.

A l'Ile -Tudy, il y avait trois usines : Le centre d'hébergement, le centre nautique où est stocké tout le matériel, où sont situées les salles de classe étaient des conserveries.

Alors qu'en hiver, les sardines s'éloignent des côtes, au printemps et durant tout l'été, elles s'en rapprochent.

C'est à ce moment -là que les pêcheurs jettent leurs filets et rapportent de grande quantité de sardines.

Pour conserver les sardines, Mr Appert a inventé la stérilisation.

Voici les différentes étapes de la mise en boite des sardines :

1. l'étêtage
2. le saumurage
3. le séchage
4. la cuisson
5. le sertissage
6. la stérilisation

En 1950, on comptait 120 conserveries et 12 000 ouvrières Pen Sardine.