Merci à Léane et Erell pour leur exposé sur les panthères : la panthère nébuleuse et la panthère de Perse.

Ce mardi 11 mai, les CM1 avaient rendez-vous avec l’Association « Eau et rivière de Bretagne».

Le travail sur l’eau, commencé avec Elodie, s’est poursuivi lors de cette première séance avec Stéphan.

Petit rappel sur le cycle de l’eau domestique : nous avons construit le cycle à l’aide d’un jeu de construction et nous avons réactivé le vocabulaire appris avec Elodie.

Rivière → station de captage → station de potabilisation → château d’eau → maisons→ station d’épuration → rivière (rejet en aval)

Stéphan a ensuite mis en place le jeu « Ecodo » : c’est un jeu de l’oie adapté au thème de l’eau.

Au début du jeu les quatre équipes reçoivent la même quantité d’eau. Les activités de jeu de l’oie permettent de gagner ou de perdre de l’eau. En fin de jeu, les équipes seront classées en fonction de l’économie d’eau effectuée.

Il y a plusieurs sortes de planches dans ce jeu :

-          Case verte : question de connaissance

-          Case bleue : événement positif (possibilité de gagner 25 mL d’eau)

-          Case rouge : question technique (comprendre le montage et expliquer le fonctionnement)

-          Case violette : événement négatif (perte de 25 mL d’eau)

-          Case défi : question de réflexion pour toutes les équipes. Attention rapidité nécessaire.

Voici deux exemples de défi :

-   Classer des cartes et les placer dans un tableau à trois colonnes « ça économise l’eau », « ça gaspille » et « ça pollue ».

-        

Sur un planisphère, relier des consommations d’eau (nombre de litres/par personne/par jour) au pays concerné (par ex : USA reliés à 600L / Haïti relié à 10 L)

Eau virtuelle/eau directe

L’eau virtuelle est la consommation d’eau nécessaire à la fabrication d’un jeans ou à la production d’1 kg de bœuf (1500L nécessaires pour obtenir 1 kg de bœuf) : c’est une consommation d’eau importante dont on n’a pas conscience.

L’eau directe est l’eau que l’on touche ou que l’on voit, que l’on utilise dans notre quotidien.

 c'est une chasse d'eau!

C'est un mousseur !

C'est un système de récupération d'eau de pluie !

C'est un compteur avec une manette pour couper l'eau !

Kilian, animateur foot, est venu nous initier à la balle au pied sans contact.

Cette première séance est composée d'un temps d'échauffement puis de deux temps de jeu (jeu des maisons et jeu global).

Cette semaine, la séance a eu lieu en extérieur (entre deux petites averses).

Les élèves ont appris à s'organiser pour construire les terrains et mener les jeux.

A chaque fois, une équipe ...

- ... "maitre du temps" chronomètre et gère les moments de jeu.

- ... "maitre des points" accorde les points aux équipes ou aux joueurs.

- ... "maitre du jeu" veille aux respect des règles, de l'invincible et des joueurs.

On fait un invincible lorsque le ballon est au sol arrêté et le pied sur le ballon.

La séance 2 sera composée des mêmes temps de jeu mais en totale autonomie.

Aujourd’hui, c’est « journée sans cahier » : nous allons réaliser la fresque sur le mur extérieur des toilettes de la cour élémentaire.

Nous, tous les CM1 de l’école, avons réfléchi à ce que nous aimerions voir figurer sur cette fresque.

Voici les idées qui ont été retenues :

- un élève qui surfe sur une vague pleine de chiffres, de lettres, de calcul mental, de mots, de formes géométriques…

- des livres et des cahiers, du matériel scolaire

- une écriture "Ecole Saint Guénolé" + le sigle de l'école

- des cœurs pour dire que les enfants s'aiment bien et sont heureux

- des drapeaux français/anglais/européen/breton

- des mots comme entraide, écoute, s'aimer, égalité, chance, réussite, bienveillance, tolérance

- un ballon de foot, des cœurs, des sourires.

Tom et Mathieu de l’association Roazhon Colors ont commencé par nous présenter le Street Art.

Sous ce terme (générique), nous pouvons regrouper beaucoup de pratiques artistiques différentes (termes spécifiques : petit rappel in situ de la dernière leçon de vocabulaire !) : ce terme Street Art peut désigner le travail de peintres, de jongleurs, de musiciens…

Aux USA, dans les années 1970, dans les quartiers défavorisés de New York, les jeunes ont souhaité mettre de la couleur sur les murs gris de leurs rues et sur les métros.

Cette pratique est éphémère et est inspirée de la publicité et des dessins animés. Au départ, c’est illégal.

Les artistes utilisent des pseudonymes pour signer leurs créations.

S’il n’y a que la signature, c’est un tag. Si on peut lire des mots et voir des dessins, c’est un graffiti.

Cet art a été importé des USA. 

Des villes ont laissé des espaces dédiés aux graffitis. Tout le monde peut peindre sur ces espaces appelés « Mur d’expression ». (à Rennes, le long de la voie de chemin de fer)

Tom et Mathieu nous ont appris le lettrage : c’est le fait de tracer les lettres d’un graffiti,

leur donner des formes variées, les imbriquer.

Chacun a reçu son prénom écrit par un des artistes et s’est essayé au lettrage.

Chacun crée le graffiti de son prénom en essayant de respecter les conseils de Tom et Mathieu,

en associant des couleurs chaudes et des couleurs froides.

Puis nous avons parler de la fresque et fait une esquisse au tableau pour se rendre compte des proportions et de la disposition des différents éléments sur le mur.

L’après midi, les éléments importants ont été tracés sur le mur (vague, surfer, écriture…).

Chaque élève est venu peindre des espaces : ce n’est pas si facile d’appuyer sur le spray de la bombe.

Nous avons associé cette initiation au graffiti à un travail de production d’écrits : écrire un article de journal, en  faisant apparaitre des informations essentielles comme où, quand, qui, comment, pourquoi cet événement a eu lieu.

Chacun était chargé d’interviewer un ou deux camarades afin de recueillir leurs avis et ressentis.

Nous avons pu observer la pratique des graffeurs : comment les deux artistes s’y prenaient pour peindre,

corriger, faire apparaitre une ombre, une illusion, un pochoir.

La fresque réalisée est magnifique.

Elle est à l’image de notre école : le petit surfeur sur sa vague représente l’élève sur son chemin d’apprentissage. La chance, l’égalité, la tolérance et le respect sont des valeurs faisant partie de notre projet éducatif.

Elodie est revenue à l’école pour notre deuxième séance sur le thème de l’eau.

Nous avons, tout d’abord, fait un petit rappel de la première séance.

Nous avons reçu des photos qu’il a fallu remettre dans l’ordre du cycle domestique de l’eau : captage en rivière, traitement des eaux pompées, stockage dans le château d’eau, distribution par les canalisations et tuyaux, utilisation en maison, évacuation des eaux usées par les égouts, usine d’assainissement des eaux usées, rejet en rivière.

Le château d’eau

Expérience : comment faire passer l’eau d’une bouteille à l’autre ?

Il faut qu’une bouteille soit placée en hauteur. Par l’action de la gravité (l’eau est attirée vers le bas), l’eau va passer de la bouteille située en haut vers celle qui est placée en bas.

Il y a une différence de pression entre les deux bouteilles : L’eau coule sous l’effet de la pression.

Comme la bouteille…plus le château d’eau est situé haut et plus l’eau coule vite : il y a de la pression.

Un château d’eau peut contenir 1 000 ou 1 500 m³ .

La facture d’eau

Voici ce qu’on peut lire sur une facture.

Le service de l’eau va rendre l’eau potable, le service de l’assainissement va traiter les eaux usées et les organismes publics vont prendre des mesures de protection de l’environnement.

La facture d’eau varie en fonction de la quantité d’eau consommée.

Combien de litres d’eau en moyenne un français consomme par jour pour son usage domestique ?

Notre avis : de 1 à 150 litres d’eau par jour.

La consommation d’eau quotidienne par personne en France est de 150 litres.

Le compteur exprime en litres puis en m³ la consommation d’eau potable. (1 m³ = 1 000 L)

Pourquoi consomme-t-on autant d’eau ? Pour quoi faire ?

Nous avons réfléchi à nos utilisations de l’eau et nous les avons rangées en fonction de la quantité nécessaire pour chacune d’elles (dans l’ordre décroissant).

1.      1. L’hygiène corporelle 

2.      2.  Les sanitaires

3.      3.  Laver le linge

4.       4. Laver la vaisselle

5.       5. Préparer les repas

6.      6.  La boisson

La préparation des repas et la boisson représente 7% (soit  7 L pour 100 L) et le reste 93% de l’eau potable consommée.

Comment réduire notre consommation d’eau ?

Voici nos idées :

-         -  Ne pas prendre de bain, rester moins longtemps sous la douche (1min = 20 L d'eau).

-         -  Ne pas laisser couler le robinet pour rien.

-         -  Bien remplir le lave-linge ou le lave-vaisselle avant de le faire tourner.

-          - Equiper les robinets de mousseurs ou d’un système pour bloquer le mitigeur.

-          - Dans les sanitaires, utiliser le « 3L/6L » efficacement

-          - Mettre une bouteille dans les vieilles chasses-d’eau de 10L pour consommer moins d’eau.

La maison et les eaux usées

Que retrouve-t-on dans les eaux usées ?

Venant de :

-          La buanderie : des produits chimiques (lessive, détachant…), des microbes, des résidus

-          La cuisine : des produits chimiques (liquide vaisselle…), des microbes, des résidus d’aliments, sable, plastiques.

-          La salle de bain : des produits chimiques (dentifrice, gel douche…), des bactéries, des morceaux de peau, des ongles, des cheveux…

-          Les sanitaires : des produits chimiques, du papier toilette, des microbes, des urines, des excréments, des traces de médicaments.

On ne peut pas éviter tous les déchets. On réussit à les identifier : Il faut savoir ce qu’il faut éliminer pour utiliser la bonne technique d’assainissement.

Cinq techniques sont nécessaires dans une station d’épuration (épurer les eaux usées).

1.       Le dégrillage : l’eau passe dans un dégrilleur et la débarrasser des gros résidus.

2.       Le dessablage et le dégraissage : étape qui consiste à récupérer les sables et les graisses.

3.       Le traitement biologique : des bactéries transforment les impuretés en boues.

4.       La clarification : les boues se déposent au fond. La décantation et la floculation (enlever ce qui reste en suspension).

5.       Le traitement et la récupération des boues

Expérience : verser dans un verre d’eau un peu d’huile puis de la poudre de cacao.

Attendons et observons : des petits paquets de cacao tombent au fond du verre.

Les résidus de chocolat s’amalgament grâce à l’action de l’huile et tombent sous forme de paquets.

C’est la floculation : on ajoute un produit qui va agir comme un aimant (agglomérer les particules entre elles et les faire couler).

 Nous sommes en réflexion pour trouver des solutions d'économie d'eau à l'école comme à la maison.

Qu’est-ce que c’est de l’eau potable ?

« C’est de l’eau que l’on peut boire, qui est bonne pour notre santé. »

L’eau est-elle potable ?

Pour nous faire une idée, nous nous servons de nos différents sens :

Nous comparons deux échantillons d’eau.

Par La vue, nous pensons que l’eau transparente pourrait être potable. Par contre, l’eau trouble ne semble pas bonne à boire.

Nous comparons trois verres contenant des liquides transparents.

Nous faisons appel à notre odorat : tour à tour, nous sentons le verre n°1 puis n°2 puis n°3.

Le verre n°3 contient du vinaigre blanc. Donc l’odeur très prononcée de ce liquide transparent nous prouve que le contenu n’est pas potable.

Nous mélangeons la moitié du verre n°1 dans le verre n°2 : une couleur bleue apparait. La pollution invisible est révélée grâce à la couleur bleue.

Donc une eau potable ne doit présenter aucune saleté visible : elle doit être sans couleur, sans odeur et sans goût.

D’où vient l’eau de notre robinet ?

Le cycle naturel  de l’eau 

                                                            Le cycle domestique de l’eau

                                                    (6L sur 10 viennent de nappes phréatiques)

L’eau douce est pompée dans la rivière ou la nappe phréatique puis elle passe par l’usine de traitement des eaux pour la rendre potable.

Cette eau potable est stockée dans un château d’eau puis acheminée jusqu’aux maisons où elle est utilisée et salie.

Les eaux usées sortent de la maison et passent par les égouts pour être purifiées dans l’usine d’épuration des eaux usées.

Voici les différentes étapes :

On prend conscience du processus qui permet d’avoir de l’eau potable : il est long et très technique.

L’eau douce potable est précieuse. Nous devons la préserver en l’économisant et en évitant de la polluer.

Cinq élèves de CM1 ont présenté leur candidature pour les élections au Conseil Municipal des Jeunes : Johanna, Léane, Noélie, Thibault et Nathan.

Merci aux cm1 pour leur engagement.

Les élections ont eu lieu à l'école aujourd'hui, vendredi 26 mars : isoloir, urne, liste d'émargement. 

Voici quelques photographies du déroulement du scrutin et les résultats de ces élections

Félicitations aux trois élus de CM1 et CM2 : Johanna, Thibault et Lucas.

Johanna et Erell ont présenté un exposé sur les pandas.

Le 11 novembre, à Paris, on rend hommage au soldat inconnu mort à Verdun

et enterré sous l'Arc de Triomphe.

Le 11 novembre 1918, un armistice (la fin des combats) est signé

entre la France et l'Allemagne.

 Luis a apporté du matériel militaire et des objets de l'armée

  datant de la guerre.

La première séance de chant avec Odile a été un véritable succès.

Nous sommes allés au gymnase dans la salle de danse.

Nous avons tous apprécié de chanter tous ensemble !

Quels talents parmi les CM1!